« N’enlève JAMAIS ton bracelet », lui ont dit les parents d’Andrea lorsqu’on lui a diagnostiqué un diabète de type 1 en 1963. Ce simple conseil est devenu le fondement de la vie d’Andrea pendant les 60 années suivantes.
Le parcours d’Andrea avec MedicAlert a commencé lorsqu’elle était une jeune fille. Sur recommandation de son médecin, ses parents lui ont offert un abonnement à MedicAlert et un identifiant, qu’elle continue de porter. Pour Andrea, son identifiant n’était pas un accessoire; c’était son compagnon de tous les instants, son ange gardien.
Un jour, en cours de gymnastique, son professeur lui a demandé de l’enlever, craignant qu’il ne s’accroche à quelque chose. Andrea, une jeune fille timide, a refusé et a été punie. Elle a dû rester seule dans un coin pendant toute la durée du cours. En sanglotant, elle a obéi, son bracelet MedicAlert toujours au poignet. En entendant cela, sa mère a pris des mesures. Elle a écrit une lettre au directeur de l’école, précisant que « jamais, au grand jamais, le bracelet ne devait être enlevé ». C’était un message clair : le port par sa fille de l’identifiant MedicAlert n’était pas négociable.
Au fil des ans, Andrea a dû faire face à divers problèmes de santé en raison de son diabète de type 1. Il y a eu des moments où son corps a eu du mal à s’adapter à de nouveaux médicaments ou à des changements de dose d’insuline, ce qui a entraîné des urgences inattendues. Mais elle a toujours pu compter sur MedicAlert pour parler en son nom.
Elle se souvient d’un incident au cours duquel elle a été victime d’une crise d’hypoglycémie alors qu’elle rentrait à pied de son travail. Elle est entrée par hasard dans un bar situé à un pâté de maisons de son appartement et ne se souvient pas d’avoir demandé au barman de l’aider à appeler sa mère. Consciente de la gravité de la situation, sa mère a demandé au barman d’appeler les services d’urgence, en insistant sur l’importance d’une assistance immédiate. Les premiers intervenants, après avoir vu l’identifiant MedicAlert d’Andrea, lui ont rapidement administré du glucose, évitant ainsi une situation potentiellement désastreuse.
Andrea déclare : « La phrase selon laquelle MedicAlert parle pour vous est exacte. Dans la situation que j’ai décrite, et il y en a eu d’autres… où serais-je si je n’avais pas MedicAlert pour dire aux premiers intervenants à quel point j’étais désespérément malade? Je ne veux même pas y penser ».
